jeudi 10 janvier 2013

Bleu blanc vert (Maïssa BEY)

Alger, 1962, l'Indépendance. Il est interdit d'utiliser le rouge à l'école, l'une des couleurs symboles du joug colonial avec le blanc et le bleu. Les corrections se font désormais en vert. Pour les héros de ce roman, un garçon et une fille à l'aube de l'adolescence et qui habitent le même immeuble, c'est un acte fondateur. Et si l'un va se battre, l'autre devra maintenir la continuité.

Deuxième lecture dans le cadre du Challenge "Un mot des titres" organisé par Calypso.
Un livre que j'ai trouvé en faisant des recherches sur le site de ma bibliothèque avec le mot "blanc"de cette nouvelle session.
J'ai hésité, puis je me suis dit que ce n'était pas un livre pour moi pour finalement me laisser tenter quand même ... j'aurais du me fier à ma première impression. 

Je n'ai pas aimé cette lecture et je n'ai pas accroché aux personnages. 

L'histoire débute en 1962, Indépendance de l'Algérie.
Lilas et Ali, alternativement d'un chapitre à l'autre, se confient à nous, nous racontent leur quotidien, leur mode de vie, leurs coutumes, leurs interdits et obligations.
Nous allons les suivre depuis leur jeune âge jusqu'à leur rencontre, leur mariage et leur vie commune.
On découvre l'évolution au fil des générations, les divergences entre les familles, entre ce qui est enseigné à l'école et à la maison.

L'Histoire de l'Algérie occupe une importante partie du récit, peut être trop à mon goût puisque je n'aime pas trop les livres Historiques. Ce livre conviendra tout à fait à ceux et celles qui s'y intéressent.


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